Un réacteur nucléaire pour Lockheed


Recréer le Soleil dans une boîte. Tel est le Graal de la fusion nucléaire, qui piétine depuis 20 ans. Et alors que le réacteur ITER de Cadarache ne devrait pas être opérationnel avant 2020, Lockheed Martin a lâché une bombe, mercredi: le groupe américain de défense a présenté un concept de réacteur compact qui serait dix fois plus efficace que les modèles actuels. A tel point qu’un réacteur de la taille d’un gros camion pourrait fournir assez d’énergie pour alimenter une ville de 100.000 habitants. Un avion n’aurait plus besoin de se ravitailler et un vaisseau spatial pourrait faire le voyage vers Mars en un mois au lieu de six.

Une réaction qui pourrait devenir propre

Effet d’annonce ou vraie avancée, impossible à dire pour l’instant. Plusieurs scientifiques interrogés par Mother Jones se montrent très sceptiques. Lockheed n’a pour l’instant rien publié, si ce n’est un design «en bouteille» simplifiant grandement le vielle architecture soviétique Tokamak notamment employée à Cadarache.

Sur le papier, la fusion nucléaire est assez simple. A l’inverse de la fission employée dans les centrales nucléaires actuelles, vol en avion de chasse les noyaux ne sont pas divisés mais fusionnés. Un cocktail gazeux, à l’heure actuelle, deutérium-tritium, deux cousins «lourds» de l’hydrogène, est chauffé à ultra-haute température, ce qui permet aux noyaux de fusionner pour créer de l’énergie et des résidus radioactifs. Les déchets sont moins importants que dans le cadre de la fission mais ils ne sont pas complètement absents. En changeant la recette, il serait toutefois possible de les éliminer pour de bon.

Contenir le plasma

Dans la pratique, il faut de grandes quantités d’énergie réussir une fusion. Si le design de Lockheed permet véritablement une efficacité 10 fois plus élevée, cela sous-entend un volume de plasma (gaz ionisé) plus important, chauffé à plus de 100 millions de degrés. Il faudra donc des champs magnétiques surpuissants pour que le mélange reste en lévitation dans la chambre sans toucher les bords, car aucun matériau ne pourrait y résister. Bref, l’Américain a encore tout à prouver avant qu’on puisse vraiment rêver.



Parce que j’affectionne l’Islande


Le climat de l’Islande est subarctique maritime. Elle est influencée par la position de la terre sur la frontière étendue entre deux courants d’écoulement d’air contrastés, certainement l’un polaire et l’autre le point de départ exotique. Le temps est également affecté par la confluence de deux courants marins: l’approvisionnement du golfe, à proximité de l’équateur, ainsi que l’est du Groenland actuel. Ce dernier contient parfois des glaçons de la dérive arctique jusqu’aux côtes nord et est de l’Islande. Les changements périodiques des températures et des précipitations sont en grande partie la conséquence des conditions météorologiques qui traversent l’Atlantique Nord. Un temps raisonnablement glacial, en particulier dans la partie nord de la région, résulte des mouvements de tout front sud de l’Islande; les conditions météorologiques modérées et pluvieuses aident à amener l’activité de votre face avant vers le nord-est entre l’Islande et le Groenland. Malgré le fait que ses points les plus septentrionaux contactent pratiquement le groupe de l’Arctique, l’Islande est nettement plus chaude que prévu. Les plages de températures ne varieront pas de manière significative au cours de la nation entière. La température annuelle indiquée pour Reykjavík est de 40 ° F (4 ° C). La température moyenne de janvier est de 31 ° F (-,5 ° C), et la chaleur moyenne de juillet est de 51 ° F (11 ° C). La neige tombe environ 100 fois par an du nord-ouest, environ 40 à l’intérieur du sud-est. Les précipitations sur douze mois peuvent varier de 16 pouces (410 mm) sur certains hauts plateaux supérieurs à beaucoup plus de 160 pouces (4 100 millimètres) autour de la partie sud des pentes de certains sommets de montagnes recouverts de glaçons. Dans le sud, il atteint en moyenne environ 80 pouces (2 000 mm). Les coups de vent sont fréquents, en particulier en hiver, et parfois un brouillard important peut éventuellement se produire, mais les tempêtes violentes sont rares. Bien que les hivers soient raisonnablement sombres, Reykjavík fait en moyenne près de 1 300 heures de lumière directe du soleil par an. Fréquemment, les aurores boréales sont visibles, en particulier pendant les mois de chute et au début de l’hiver. L’Islande a été fondée il y a plus de 1 000 ans à l’époque de la recherche viking et s’est résolue avec une population mixte nordique et celtique. Le paiement anticipé, composé généralement de marins et d’aventuriers norvégiens, a encouragé de nouvelles aventures au Groenland et sur le littoral du Canada et de l’Amérique (que les Scandinaves appelaient le Vinland). Malgré son isolement physique, à environ 500 ml (800 km) de l’Écosse, son voisin occidental le plus proche, l’Islande a toujours fait partie intégrante de la société occidentale. Les sagas islandaises, dont presque tous racontent des épisodes héroïques qui ont eu lieu à l’époque où cette île tropicale a été colonisée, sont considérées comme l’une des meilleures réalisations littéraires des groupes du Moyen Âge, reflétant une perspective occidentale tout en commémorant le contexte et les coutumes de le peuple a considérablement enlevé les centres continentaux de commerce et de culture.