Aimer le rouge… et le blanc


Si vous êtes de ceux qui pensent que le rosé est élaboré en mariant le rouge et du blanc, ce billet est pour vous ! La semaine dernière, j’ai suivi un cours d’oenologie chez un caviste. Si je voulais assister à un tel atelier, c’est parce qu’il permet à mes yeux d’accomplir une expérience difficile à faire chez soi : qui serait prêt à ouvrir 7 bouteilles millésimées au cours d’une même soirée pour ne pas les finir ? J’appréhendais un peu d’être le seul débutant, mais tout s’est bien passée, pour finir. Cela m’a permis de faire une dégustation verticale (c’est la dégustation de plusieurs châteaux d’une seule et même année) Tous les âges étaient représentées(même si les quadras étaient la majorité). En fait, ces ateliers d’oenologie sont créés pour toutes sortes de publics, que ce soit les débutants que les amateurs éclairés on trouve ainsi des cours pour différents niveaux, allant du stage d’initiation aux formation diplômantes. S’il ne faut pas s’attendre à devenir un un fin connaisseur après trois heures de cours, c’est tout de même très sympathique à suivre. Si je devais exposer une critique, je dirais que la limite de l’expérience, c’est qu’on ne retient pas vraiment, finalement. Car il y a vraiment trop d’informations pendant l’atelier. Si vous êtes novice et projetez d’assister à un cours de ce genre, est préférable d’opter pour une formule découverte qui permet de démêler les mariages entre les vins et les fromages. Vous retiendrez plus facilement les conseils que lors d’un cours plus théorique sur la science de l’oenologie. Mais c’est tout de même une activité que je recommande. Pour ceux qui sont tentés, j voici la page du cours d’oenologie auquel j’ai participé. A lire sur le site de cette expérience de cours d’oenologie à Toulouse.


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