Vitesse et passion: le rêve de la Formule 1


La conduite peut évoquer une myriade d’émotions et de sensations, de la tranquillité d’une promenade à la campagne à la montée d’adrénaline d’une descente à toute allure sur une autoroute. Pour beaucoup, l’attrait de la vitesse est incontestable. C’est un désir de vitesse qui va au-delà des aspects pratiques du déplacement d’un point A à un point B ; c’est l’excitation de repousser les limites, le rugissement d’un générateur à haut régime, baptême de F1 ainsi que le flou du monde qui défile. Ce désir de vitesse est encore plus prononcé lorsque l’on pense à l’apogée des courses de moteurs : la Formule 1. L’envie de découvrir la vitesse brute et débridée d’une voiture de F1 est un rêve partagé par de nombreux passionnés de conduite, dont je fais partie.

L’intérêt pour la vitesse a commencé de manière assez anodine. Comme beaucoup, mes premières expériences de voyage se sont limitées au monde structuré et prévisible des leçons de conduite et aux premières semaines prudentes de déplacement dans les rues locales. Cependant, au fur et à mesure que la confiance en la puissance du pneu grandissait, la curiosité concernant les capacités de la voiture et les miennes s’est accrue. Il y a une minute d’exaltation à accélérer sur une route, à sentir la voiture répondre avec empressement à la pression exercée sur la pédale. Il ne s’agit pas simplement d’aller plus vite ; il s’agit de l’expérience d’un véhicule qui prend vie, d’être en phase avec une machine qui réagit à vos moindres instructions.

La vitesse est enivrante. Sur une route dégagée, avec le vent qui souffle et le ronronnement du moteur qui vous accompagne en permanence, vous avez l’impression d’être libéré, d’échapper à la routine. Mais ce n’est pas seulement la sensation physique de la vitesse qui fascine, c’est aussi ce qu’elle signifie. La vitesse devient une métaphore de la liberté, de la capacité à échapper aux limites de la vie quotidienne, même si ce n’est que pour un instant. C’est un avant-goût fugace de ce que signifie être délié, sans entrave, courir vers rien d’autre que l’horizon.

Néanmoins, cet intérêt pour le rythme n’est pas sans inconvénient. Sur les voies publiques, le désir de vitesse est tempéré par la réalité des préoccupations de sécurité, des limites légales et des devoirs que nous avons en tant qu’automobilistes envers les autres et envers nous-mêmes. L’équilibre est fragile entre la recherche de la vitesse et le respect des limites qui existent pour de bonnes raisons. Ce stress ne fait qu’attiser la convoitise pour le domaine des courses d’experts, où les limites sont repoussées au nom de la compétition, de l’innovation et de l’activité sportive.

Entrez dans la méthode 1, le zénith du sport automobile, où la vitesse, la technologie moderne et l’habileté individuelle convergent dans un spectacle qui captive des millions de personnes dans le monde entier. Regarder une voiture de F1 parcourir les virages serrés et les longues lignes droites des circuits avec précision et grâce, c’est assister à un ballet de physique et d’ingénierie. Ces machines, conçues à la limite de la vraisemblance, atteignent des vitesses qui semblent défier les faits, tout en étant pilotées par des hommes et des femmes dont les effets secondaires et l’intuition sont affûtés sur le fil du rasoir.

L’envie de connaître la vitesse de votre véhicule F1 n’est pas seulement liée au désir d’aller plus vite ; il s’agit de faire partie d’une communauté où le rythme est le cœur et l’âme de la vie. Il s’agit de s’imaginer aux commandes d’un véhicule qui représente le summum de l’ingénierie automobile, de ressentir les facteurs G en parcourant une pièce à des vitesses qui seraient impensables sur la route, le rugissement du moteur n’étant pas seulement un son mais une force physique. Il s’agit du désir de tester ses propres limites, de voir comment on se débrouillerait face à une vitesse et une pression aussi importantes.

Ce désir est d’autant plus fort que, pour la plupart d’entre nous, l’expérience la plus proche de ce niveau de vélocité sera l’excitation procurée par l’observation des courses ou peut-être, si l’argent le permet, une expérience de conduite à plus grande vitesse dans un cadre aménagé. Le monde de la Formule 1, avec son mélange de glamour, de risque et de pure exaltation de la vitesse, reste un royaume lointain, presque mythique.

Pourtant, c’est précisément ce domaine, le rêve de pouvoir pousser une voiture de F1 à ses limites, qui alimente l’imagination et la passion des passionnés de conduite. C’est un rappel que la vitesse est plus qu’un simple chiffre sur un compteur ; c’est une poursuite de l’excellence, un examen de bravoure et une histoire d’amour avec l’idée même d’aller de l’avant. Même si nous n’avons pas l’occasion de vivre l’expérience du cockpit d’une F1, l’idée de ce qu’elle représente – la meilleure expression de la vitesse, du talent et de la technologie – nous incite à repousser nos propres limites, à découvrir les limites de ce dont nous sommes capables et à toujours, toujours, poursuivre l’horizon, quelle que soit la vitesse à laquelle il s’éloigne.

En conclusion, l’attrait du rythme et l’envie d’expérimenter la vitesse inégalée d’une voiture de Formule 1 témoignent du désir humain d’explorer, de se mettre au défi et de s’affranchir de la norme. Cela renvoie à un aspect essentiel de notre nature : la quête de flexibilité, le désir de repousser les limites du possible. Même si peu de gens transformeront un jour le pneu d’une voiture de F1, le rêve de le faire nous rappelle de vivre avec passion, de poursuivre nos propres sommets avec vigueur et de ne jamais perdre de vue la joie que l’on peut trouver dans la poursuite de la vélocité.



Sécurité : Un Besoin Fondamental et Enjeu de Société


La sécurité est un besoin fondamental et une priorité pour les individus et les sociétés. Elle concerne la protection de la vie, des biens et de la liberté des personnes contre diverses menaces telles que la criminalité, le terrorisme, les catastrophes naturelles et les conflits. La manière de garantir la sécurité est un sujet de débat complexe, impliquant des considérations de politique publique, de droits de l’homme et de libertés civiles. Cet essai examine l’importance de la sécurité, les différents défis liés à sa garantie, et les diverses approches adoptées pour assurer la sécurité des citoyens.

Importance de la Sécurité

La sécurité est essentielle pour le bien-être et la stabilité des sociétés. Elle permet aux individus de vivre sans crainte, de participer activement à la vie sociale et économique, et de jouir de leurs droits et libertés. Une société sûre favorise également le développement économique, car elle crée un environnement propice aux affaires et aux investissements.

Défis de la Garantie de la Sécurité

Garantir la sécurité présente de nombreux défis. Les menaces à la sécurité peuvent être diverses et évoluer rapidement, nécessitant des réponses adaptées et efficaces. La criminalité, le terrorisme, les conflits internes et externes, ainsi que les catastrophes naturelles, sont autant de facteurs qui menacent la sécurité des individus et des sociétés.

Un autre défi majeur est de trouver un équilibre entre la sécurité et le respect des droits de l’homme et des libertés civiles. Les mesures de sécurité, telles que la surveillance, les contrôles aux frontières et les interventions policières, doivent être mises en œuvre de manière à respecter les principes de légalité, de nécessité et de proportionnalité.

Approches de la Garantie de la Sécurité

Les approches pour garantir la sécurité varient selon les contextes nationaux et les enjeux spécifiques. Elles peuvent inclure le renforcement des forces de l’ordre, l’utilisation de technologies de surveillance, la mise en œuvre de politiques de prévention de la criminalité, et la coopération internationale en matière de sécurité.

La prévention est une composante clé de la garantie de la sécurité. Elle comprend des initiatives telles que l’éducation, l’amélioration des conditions socio-économiques, et l’engagement communautaire pour réduire les causes profondes de l’insécurité.

Conclusion

La sécurité est un besoin fondamental et un enjeu majeur de société, essentiel pour la protection de la vie et des biens. Les défis liés à la garantie de la sécurité sont complexes et exigent des approches équilibrées et respectueuses des droits et libertés individuels. Une stratégie de sécurité efficace et inclusive est cruciale pour créer un environnement sûr et stable, propice au développement et à la prospérité des sociétés.



voyage de luxe : une expérience inoubliable


Voyager dans le luxe est une expérience qui transcende le simple déplacement d’un lieu à un autre. C’est un voyage qui fait appel à vos sens, qui gâte vos désirs et qui vous laisse des souvenirs aussi opulents que le voyage lui-même. Dans cette étude sur les voyages de luxe, nous nous penchons sur ce qui rend ces activités véritablement extraordinaires, qu’il s’agisse d’hébergements distinctifs, de repas gastronomiques, les meilleurs hôtels de Barcelone de services personnalisés ou de rencontres culturelles immersives.

La quintessence des vacances de luxe réside souvent dans les lieux où l’on séjourne. Imaginez une villa exclusive surplombant les eaux azurées des Maldives, un château historique dans les collines verdoyantes d’Écosse, ou encore un appartement-terrasse dans un palace parisien. Ces hébergements exclusifs ne sont pas seulement des lieux de repos, ce sont des destinations à part entière. Chaque chambre est un véritable chef-d’œuvre de design, offrant le plus grand confort et la technologie la plus récente, souvent accompagnée d’un service de majordome privé. L’attention portée aux détails dans ces lieux est méticuleuse, garantissant que chaque aspect de votre séjour est impeccable.

Les expériences culinaires font partie intégrante des voyages haut de gamme. Des restaurants étoilés au guide Michelin dans les villes cosmopolites aux dîners privés au bord de la mer sous les étoiles, ces expériences culinaires ne se limitent pas à la nourriture. Il s’agit d’un voyage à travers des plats locaux et internationaux, préparés par des experts culinaires de renommée mondiale à partir des ingrédients les plus raffinés. Chaque repas est une célébration, accompagné de vins exquis et servi dans des lieux étonnants, qu’il s’agisse d’une cour éclairée aux chandelles en Italie ou d’un restaurant au fond d’une tasse plutôt que d’un récif corallien.

Les vacances de luxe sont fondamentalement personnelles. Des itinéraires sur mesure sont élaborés pour répondre à vos intérêts, que vous soyez amateur d’art, de nature ou d’histoire. Les guides personnels vous offrent des idées approfondies sur la culture et l’histoire de la communauté, en vous faisant sortir des sentiers battus. Vous pourriez vous retrouver dans une visite privée du Vatican après les heures de bureau, un tour en hélicoptère dans l’outback australien ou une excursion en yacht vers des criques cachées le long de la côte turque. Ces expériences sont adaptées à vos préférences, afin que chaque minute de votre voyage soit aussi unique que vous l’êtes.

Le bien-être est l’un des fondements de l’expérience pratique d’un voyage de luxe. Les hôtels et les spas haut de gamme offrent un sanctuaire pour le corps et l’esprit, avec des remèdes mêlant traditions anciennes et méthodes de bien-être contemporaines. Des retraites ayurvédiques en Inde aux bains thermaux en Islande, ces expériences sont conçues pour rajeunir et rafraîchir. Des séances de yoga sur une plage exclusive, la détente dans un jardin relaxant ou même un massage avec vue sur un paysage serein ne sont que quelques-unes des façons dont les voyages de luxe stimulent le bien-être holistique.

Les voyages de luxe offrent des possibilités d’immersion culturelle sérieuse. Il s’agit d’entrer en contact avec la destination de manière significative, que ce soit par le biais d’une cérémonie du thé privée au Japon, d’un cours de cuisine en Toscane ou d’un spectacle de danse classique à Bali. Ces activités permettent de mieux comprendre et apprécier la culture locale, en se rapprochant des gens et des coutumes des lieux visités.

Les voyages de luxe se caractérisent par un service sans faille. Chaque détail logistique est minutieusement réglé, des services rapides dans les aéroports aux transferts privés dans des véhicules de luxe. L’objectif est de créer une expérience sans stress, où votre confort et votre commodité sont les priorités absolues. Ce niveau de service s’étend aux concierges personnels qui sont à votre disposition pour répondre à toute demande, qu’il s’agisse d’une réservation de dernière minute pour un dîner dans le meilleur restaurant ou de l’organisation d’une surprise spécifique pour un être cher.

Les voyages de luxe impliquent souvent d’échapper à la foule et de trouver son propre paradis privé. Il peut s’agir d’une île de villégiature cachée, d’un chalet de montagne isolé ou d’un camp de safari haut de gamme au cœur de la savane africaine. Ces lieux exclusifs offrent intimité et tranquillité, vous permettant de vous déconnecter de la planète et de vous reconnecter à vous-même.

De plus en plus, les voyages de luxe s’intègrent dans le développement durable et le tourisme responsable. Les fournisseurs de voyages haut de gamme s’engagent à préserver l’environnement et les communautés dans lesquelles ils opèrent. Cet engagement se traduit par des pratiques respectueuses de l’environnement, une aide aux artisans locaux et des initiatives en faveur de la préservation sociale. Voyager dans le luxe devient donc un moyen d’avoir un impact positif sur les destinations visitées.

L’intégration des technologies et de l’innovation fait évoluer les expériences de voyage de luxe. Qu’il s’agisse d’applications offrant des recommandations personnalisées ou d’expériences de réalité en ligne qui passent les destinations en revue, la technologie améliore toutes les facettes du voyage. À l’intérieur de votre logement, une technologie moderne et intelligente vous permet de personnaliser votre environnement en fonction de vos préférences personnelles, afin que votre séjour soit aussi confortable que possible.

Enfin, le voyage de luxe est l’art de voyager avec style. Il s’agit de découvrir et d’apprécier les destinations les plus époustouflantes du monde de la manière la plus superbe qui soit. Que vous buviez du champagne dans un jet privé, que vous vous promeniez dans une voiture décapotable de collection le long de la côte amalfitaine ou que vous montiez à bord d’un train de luxe dans les Highlands écossais, ces activités incarnent l’élégance et le glamour du voyage de luxe.

En conclusion, le voyage de luxe est plus qu’un simple voyage ; c’est une fête qui réunit les meilleures choses de votre vie. Il s’agit de faire plaisir à vos sens, de découvrir de nouvelles cultures et de créer des souvenirs inoubliables dans quelques-unes des destinations les plus époustouflantes du monde. C’est une véritable expérience qui fait du voyage une forme d’art et qui vous permet d’apprécier plus profondément la beauté et la diversité de notre monde.



La biodiversité s’effondre et menace gravement la planète


La biodiversité est en chute libre dans le monde entier, selon les résumés de quatre rapports historiques que la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) a publiés le 23 mars (et résumés dans ce communiqué de presse de l’IPBES). Ceux-ci comprennent l’étude la plus complète sur la biodiversité publiée au cours de la dernière décennie et couvrent quatre régions: les Amériques, l’Afrique, l’Asie-Pacifique et l’Europe-Asie centrale.
Le rapport de l’IPBES sera utilisé pour informer les décideurs lors d’une grande conférence des Nations Unies plus tard cette année. Les signataires de la Convention pour la biodiversité se réuniront à Charm el-Cheikh en novembre pour discuter des moyens de relever les objectifs et de renforcer la conformité. Mais il y a eu plus de 140 rapports scientifiques depuis 1977, dont presque tous ont mis en garde contre une détérioration du climat ou du monde naturel. Sans plus de pression de la société civile, des médias et des électeurs, les gouvernements ont été réticents à sacrifier des objectifs économiques à court terme pour relever le défi environnemental à plus long terme pour le bien-être humain.
Les détails donnent à réfléchir; permettez-moi de citer le communiqué, organisé par les quatre régions.
Les Amériques
En l’absence de changements radicaux dans les politiques et les pratiques, la biodiversité devrait continuer de s’effondrer dans les Amériques, selon l’IPBES:
le changement climatique sera le moteur de la croissance la plus rapide ayant un impact négatif sur la biodiversité d’ici 2050 dans les Amériques, devenant comparable aux pressions imposées par le changement d’utilisation des terres. En moyenne aujourd’hui, les populations d’espèces dans une zone sont environ 31% plus petites que ce n’était le cas au moment de la colonisation européenne. Avec les effets croissants du changement climatique ajoutés aux autres moteurs, cette perte devrait atteindre 40% d’ici 2050.
Le rapport souligne le fait que les peuples autochtones et les communautés locales ont créé une diversité de systèmes de polyculture et d’agroforesterie, qui ont accru la biodiversité et façonné les paysages. Cependant, le découplage des modes de vie de l’environnement local a érodé, pour beaucoup, leur sens du lieu, de la langue et des connaissances locales autochtones. Plus de 60% des langues des Amériques et des cultures qui leur sont associées sont en difficulté ou en voie de disparition.
Afrique
D’ici 2100, au moins la moitié des espèces d’oiseaux et de mammifères d’Afrique seront éteintes à cause du changement climatique. De plus, selon IBPES:
Le rapport ajoute qu’environ 500 000 kilomètres carrés de terres africaines auraient déjà été dégradées par la surexploitation des ressources naturelles, l’érosion,
la salinisation et la pollution, entraînant une perte importante des contributions de la nature aux personnes. Une pression encore plus grande sera exercée sur la biodiversité du continent, la population africaine actuelle de 1,25 milliard d’habitants devant doubler pour atteindre 2,5 milliards d’ici 2050.
Les environnements marins et côtiers apportent des contributions économiques, sociales et culturelles importantes aux populations africaines. Les dommages aux systèmes de récifs coralliens, principalement dus à la pollution et au changement climatique, ont des implications de grande envergure pour la pêche, la sécurité alimentaire, le tourisme et la biodiversité marine en général.
Asie-Pacifique
Bien que la région Asie-Pacifique affiche également des baisses importantes de la biodiversité, un succès limité a également été signalé ici, avec une augmentation des aires protégées qui résistent à la tendance. Au cours des 25 dernières années, selon l’IBPES, les aires marines protégées de la région ont augmenté de près de 14% et les aires terrestres protégées de 0,3% seulement.
Pourtant, de manière significative, le couvert forestier a augmenté de 2,5%, les plus fortes augmentations étant enregistrées en Asie du Sud (5,8%) et surtout en Asie du Nord-Est (22,9%). Cette augmentation marquée du couvert forestier en Asie du Nord-Est est largement due aux programmes de plantation d’arbres mis en œuvre par la Chine (et le pourcentage élevé reflète une augmentation à partir d’une base très faible).
Ce succès limité est cependant éclipsé par d’autres pertes catastrophiques, notamment en milieu marin et vis-à-vis de leurs espèces:
Les pratiques aquacoles non durables, la surpêche et la récolte destructrice menacent les écosystèmes côtiers et marins, avec des projections selon lesquelles, si les pratiques de pêche actuelles se poursuivent, il n’y aura pas de stocks halieutiques exploitables dans la région d’ici 2048. Les zones intertidales se détériorent également rapidement en raison des activités humaines, avec récifs coralliens d’une importance écologique, culturelle et économique critique, déjà gravement menacés, et certains récifs ayant déjà disparu, en particulier en Asie du Sud et du Sud-Est. Selon le rapport, jusqu’à 90% des coraux subiront une grave dégradation d’ici 2050, même dans des scénarios de changement climatique conservateurs.
De plus, huit des dix fleuves du monde les plus pollués par les déchets plastiques se trouvent dans la région Asie-Pacifique, selon un compte rendu du NYT discutant de l’étude IPBES,
Le rapport souligne que le changement climatique et les événements extrêmes associés constituent de grandes menaces, en particulier pour les écosystèmes côtiers, les zones côtières basses et les îles. Le changement climatique a également un impact sur la répartition des espèces, la taille des populations et le moment de la reproduction et de la migration. L’augmentation de la fréquence des épidémies de ravageurs et de maladies résultant de ces changements peut avoir des effets négatifs supplémentaires sur la production agricole et le bien-être humain, avec des effets qui devraient s’aggraver.
Europe-Asie centrale
En Europe et en Asie centrale, l’intensité croissante de l’agriculture et de la foresterie conventionnelles entraîne un déclin de la biodiversité, même si l’adoption de pratiques agricoles et forestières durables a été limitée. Dans l’ensemble, les habitants de cette région consomment plus de ressources naturelles renouvelables que la région n’en produit.
Au sein de l’Union européenne, les espèces marines sont en situation de stress, selon IBPES:
… Seulement 7% des espèces marines et 9% des types d’habitats marins présentent un «état de conservation favorable». De plus, 27% des évaluations des espèces et 66% des évaluations des types d’habitats montrent un «état de conservation défavorable», les autres étant classés comme «inconnus».
Néanmoins, la promotion de la biodiversité n’est pas encore devenue une priorité politique:
Les auteurs constatent que la poursuite de la croissance économique ne peut faciliter le développement durable que si elle est dissociée de la dégradation de la biodiversité et de la capacité de la nature à contribuer aux populations. Un tel découplage, cependant, ne s’est pas encore produit et nécessiterait un changement profond des politiques et des réformes fiscales aux niveaux mondial et national.
Selon le rapport, l’abandon des systèmes traditionnels d’utilisation des terres et la perte des connaissances et pratiques autochtones et locales associées sont monnaie courante en Europe et en Asie centrale. Les subventions basées sur la production qui stimulent la croissance dans les secteurs de l’agriculture, de la foresterie et de l’extraction des ressources naturelles ont tendance à exacerber les problèmes conflictuels d’utilisation des terres, affectant souvent le territoire disponible pour les utilisateurs traditionnels. Le maintien de l’utilisation traditionnelle des terres et des modes de vie en Europe et en Asie centrale est fortement lié à l’adéquation institutionnelle et à la viabilité économique.



Découvrir le monde fascinant des vins fins


Le vin, avec ses saveurs abondantes et ses arômes captivants, a le pouvoir de nous transporter dans différents lieux et moments. Pour les amateurs de vin comme pour les novices, la découverte de vins merveilleux est un voyage passionnant et gratifiant. Que vous exploriez le vaste monde des vins pour la première fois ou que vous cherchiez à élargir votre palais, œnologie cet article vous donne un manuel complet sur la façon de découvrir des joyaux cachés et de trouver des boissons au vin absolument exceptionnelles.

Pour partir à la découverte du vin rouge, il est essentiel de s’armer de connaissances. Commencez par vous renseigner sur les différents cépages, les territoires viticoles et le processus de vinification. Les livres, les ressources en ligne et, dans de nombreux cas, les cours locaux sur le vin rouge fournissent des informations précieuses. Familiarisez-vous avec les bases de la dégustation des vins, en comprenant les attributs fondamentaux du vin tels que l’acidité, les tanins et la douceur. Ces connaissances vous permettront de prendre des décisions plus éclairées lorsque vous choisirez des vins.

L’une des meilleures façons d’apprendre à boire du bon vin est d’explorer le vaste choix de régions viticoles potentielles à travers le monde. Chaque région possède une composition de sol, des conditions climatiques et des cultures viticoles uniques qui donnent naissance à des types et des styles distincts. Commencez par explorer des régions reconnues telles que le Bordelais en France, la Toscane en France, la Napa Valley aux États-Unis ou Mendoza en Argentine. Vous pouvez également vous aventurer dans des régions moins connues, comme la vallée du Douro au Portugal ou la vallée de la Bekaa au Liban. Les points de vente de vin ou les clubs de vin situés à proximité peuvent souvent fournir des recommandations importantes et des informations sur les joyaux cachés de ces territoires.

Participer à des dégustations et à des événements viticoles est un excellent moyen d’approfondir vos connaissances et d’explorer une grande variété de vins. Les vignobles locaux, les festivals du vin et les dégustations organisées permettent de goûter à divers cépages et styles dans le cadre d’une visite guidée. Entrez en contact avec des viticulteurs et des sommeliers qui peuvent vous donner des informations et des recommandations précieuses. Soyez attentif à vos préférences et expérimentez différentes boissons à base de vin afin de mieux comprendre vos goûts personnels.

Les communautés en ligne, les forums et les plateformes de marketing des médias sociaux ont révolutionné la manière dont les amateurs de vin se connectent et partagent des informations et des faits. La participation à ces communautés vous permet d’accéder à un vaste réseau d’amateurs de vin, de sommeliers et d’experts. Demandez des recommandations, parlez de vos propres découvertes et participez à des discussions sur les territoires viticoles, les cépages et les techniques de vinification. Les applications ciblées sur les vins peuvent également vous aider à identifier de nouvelles boissons, à les évaluer et à vous suggérer des bouteilles similaires en fonction de vos préférences.

Le vin et la nourriture sont des amis naturels, et le fait de tester différents accords peut vous aider à mieux découvrir le vin. Découvrir comment certaines saveurs, textures et épices se marient avec différents vins peut vous aider à identifier des combinaisons uniques qui améliorent à la fois les repas et le vin. Participez à des dîners autour du vin, essayez la cuisine régionale et étudiez les accords mets et vins recommandés par les experts. Le secteur des accords mets et vins est une exploration intrigante en soi, avec un grand nombre d’occasions de découvrir de nouvelles saveurs vinicoles qui complètent et rehaussent l’expérience gastronomique.

Enfin, pensez à créer une série de vins ou à construire une petite cave. Le vieillissement des vins peut ouvrir un tout nouveau degré de complexité et de plaisir. Étudiez les vins qui ont un excellent potentiel de vieillissement et expérimentez la mise en cave de différentes bouteilles. Au fur et à mesure que vous acquerrez de l’expérience, vous comprendrez mieux comment les vins évoluent avec le temps et découvrirez le miracle qui découle de la persistance et de l’anticipation.

La découverte des grands vins est un voyage de longue haleine rempli de chocs délicieux et d’expériences remarquables. En vous informant, en découvrant divers territoires, en vous engageant dans des zones résidentielles viticoles, en assistant à des dégustations, en expérimentant des accords mets-vins et en adoptant la technique de la conservation, vous découvrirez un monde de vins exceptionnels qui n’attendent que d’être découverts et savourés.



La faute à la crise bancaire


Le Brexit en 2019 et la crise bancaire de 2007 à 2009 sont généralement considérés comme des événements indépendants. Cette colonne fait valoir qu’ils sont en fait étroitement liés. Les politiques d’austérité engagées en réponse aux dommages budgétaires résultant de la crise bancaire ont déclenché les votes de protestation des électeurs laissés pour compte, ce qui a permis à Leave de remporter le vote référendaire. L’implication est que les coûts économiques de la crise bancaire sont beaucoup plus importants qu’on ne le pense habituellement.
La crise bancaire d’il y a dix ans a été un grave échec politique (Commission indépendante des banques 2011). L’effet de levier a augmenté de façon spectaculaire entre la fin des années 80 et la crise, tandis que les fonds propres absorbant les pertes étaient insuffisants. Une réglementation qui aborderait ces questions aurait pu maintenir la stabilité financière à un coût minimal pour la croissance économique (Miles et al. 2013).
La crise bancaire a été préjudiciable à bien des égards, notamment à cause des coûts de production et budgétaires du choc récessif qu’elle a imposé à l’économie. Le point clé de l’argument de cette colonne est qu’elle a réduit le niveau de la production potentielle dans l’économie et a augmenté en conséquence le déficit budgétaire structurel. Cet effet résulte de la diminution du capital, du capital humain et de la productivité totale des facteurs. Une estimation conventionnelle pourrait être que la crise d’il y a dix ans a probablement réduit le niveau de la production potentielle au Royaume-Uni entre 3,8% et 7,5% (tableau 1).
Tableau 1 Estimations de l’impact de la crise bancaire sur le niveau de la production potentielle britannique (% PIB)
Remarque: les estimations des deux premières lignes sont dérivées d’une analyse économétrique des effets moyens des crises bancaires passées. Les troisième et quatrième rangées sont des estimations pour le Royaume-Uni dans le contexte de la crise de 2007-2009.
Sources: comme indiqué ci-dessus.
Des plans de resserrement budgétaire ont été formulés dans le contexte d’estimations contemporaines de l’augmentation du déficit budgétaire structurel depuis avant la crise (tableau 2). Le gouvernement travailliste sortant et le gouvernement de coalition entrant ont tous deux accepté l’argument en faveur d’une importante consolidation budgétaire pour rétablir la viabilité budgétaire, bien que les parties aient quelque peu divergé sur sa composition, sa taille et son calendrier. L’austérité était une réponse politique bipartite aux implications fiscales de la crise bancaire sans laquelle elle n’aurait été provoquée par aucune des parties.
Tableau 2 Implications fiscales de la crise bancaire (% PIB)
Source: Emmerson et Tetlow (2015).
En l’occurrence, le programme d’austérité s’est fortement appuyé sur des coupes dans les dépenses publiques qui ont représenté 89% de l’assainissement budgétaire. À son tour, une partie substantielle de ces réductions a été mise en œuvre par le biais de réductions des subventions aux collectivités locales qui ont diminué de 36,3% en moyenne entre 2009/10 et 2015/16. Dans les collectivités locales, les réductions des dépenses publiques par personne ont varié de 46,3% à 6,2%, les zones les plus défavorisées connaissant des coupes relativement importantes (Innes et Tetlow 2015).
Après 2010, le soutien à l’UKIP lors des élections locales a augmenté au point de devenir une grave menace électorale pour les conservateurs qui ont donc promis un référendum sur l’adhésion à l’UE. Dans une analyse des différences dans les différences, Fetzer (2018) montre que l’augmentation du soutien à l’UKIP au niveau local était fortement corrélée au fil du temps avec l’impact de l’austérité dans les zones où les fondamentaux socioéconomiques sont faibles. Les effets sont importants: pour un district subissant le choc d’austérité moyen, la part des votes de l’UKIP augmenterait de 3,58 points de pourcentage sur la base de l’estimation groupée pour la période post-2010 et de 11,51 points de pourcentage sur la base de l’estimation pour 2015. Étant donné la relation étroite entre le voter des parts de l’UKIP aux élections et de Laisser au référendum, ces résultats suggèrent que Remain aurait très probablement gagné en l’absence d’austérité.
De toute évidence, en principe, l’assainissement budgétaire aurait pu être conçu différemment; par exemple, une fiscalité accrue aurait pu jouer un rôle beaucoup plus important. De plus, les conservateurs ont remporté la majorité en 2015 et avoir dû mettre en œuvre leur promesse référendaire a été une surprise, d’autant plus que l’assainissement budgétaire était toujours en cours. Cependant, la séquence des événements semble claire: la crise financière a conduit à un programme d’austérité qui a suffisamment stimulé le soutien à l’UKIP pour que les conservateurs promettent un référendum et a contrarié les électeurs laissés pour compte dont les votes de protestation ont suffi à faire pencher la balance. pour congé.
Le Brexit est donc un héritage de la crise bancaire, même s’il n’était pas une conséquence inévitable. Sur la base de cette analyse, dans un article récent, j’ai calculé un impact total sur la production potentielle auquel j’ai ajouté l’impact indirect via le Brexit à l’impact direct de la crise bancaire (Crafts 2019).
L’hypothèse générale dans les études de l’impact économique du Brexit est qu’il entraînera une augmentation des coûts commerciaux pour le Royaume-Uni. À son tour, cela impliquera une réduction des volumes d’échanges et, par conséquent, un impact négatif sur le niveau de productivité et donc sur le niveau du PIB par rapport au contrefactuel de rester dans l’UE.1 L’ampleur de ces effets dépend des détails des nouveaux accords commerciaux qui devraient remplacer l’adhésion à l’UE ainsi que sur les spécifications des modèles. Un «  Brexit doux  » – par exemple, le Royaume-Uni quittant l’UE mais restant dans l’Espace économique européen – devrait avoir un effet négatif plus petit qu’un «  Brexit dur  » – par exemple, partir sans accord et négocier sur une OMC base de règles – et un accord commercial avec l’UE aurait vraisemblablement un effet intermédiaire.
L’adhésion à l’EEE semble peu probable sous le gouvernement actuel. Dans ce cas, les colonnes AT et OMC du tableau 3 peuvent être considérées comme représentatives des principales estimations de l’impact du Brexit sur le niveau de la production potentielle du Royaume-Uni lorsque l’ajustement est terminé, peut-être après environ 10 ans. La fourchette va de -3,9% à -8,7% du PIB.2
Remarque: toutes les estimations incluent l’impact à long terme sur le niveau de productivité, mais ne tiennent pas compte de l’impact de la migration.
Cela implique qu’un nouveau déficit budgétaire structurel émergerait même en permettant la fin de la contribution budgétaire nette du Royaume-Uni à l’UE. D’après l’arithmétique d’Emmerson et al. (2016), cela représenterait environ 5,7% du PIB si un Brexit dur (OMC) réduisait le PIB potentiel de 8,7% .3 Cela apporterait une toute nouvelle dimension au concept d ‘«austérité autodestructrice». La recherche de l’élimination d’un déficit structurel estimé par HM Treasury à environ 5% du PIB en 2010 aurait donné lieu à un déficit encore plus important sur toute la ligne.
La crise bancaire et le Brexit sont généralement considérés comme deux revers sans rapport. En fait, il existe un lien étroit entre eux qui passe par l’assainissement budgétaire qui a dû être entrepris au lendemain de la crise financière. La douleur de l’austérité a favorisé la montée de l’UKIP, un référendum sur l’adhésion à l’UE et une victoire pour le congé. Aucun de ces résultats n’était en aucun cas certain ex ante, mais ils étaient les résultats obtenus de la réponse politique à la crise bancaire. Si le Brexit est considéré comme un résultat de la crise bancaire, la perte totale de production potentielle de cette débâcle est environ doublée et se situe entre 7,7% et 16,2% du PIB.
L’implication est que, si les risques de réponses politiques malheureuses à la suite d’une crise sont pris en compte, il y a des raisons encore plus fortes de réglementer strictement le système bancaire, en particulier pour garantir qu’il dispose de niveaux adéquats de fonds propres absorbant les pertes. Miles et al. (2013) montrent que le rapport avantages sociaux-coûts d’une réduction substantielle de l’effet de levier est en tout cas élevé. Les événements des dix dernières années indiquent qu’il est encore plus élevé qu’ils ne le pensaient.
Si je lis bien, cela suppose qu’il existe une corrélation entre le vote UKIP et le vote Brexit – je ne suis pas sûr que ce soit vrai – beaucoup plus de gens ont voté pour le Brexit que pour l’UKIP, et de mémoire, Le vote de l’UKIP était beaucoup plus fortement orienté vers le sud de l’Angleterre que le vote du Brexit.
De toute évidence, l’austérité et le déclin économique ont fortement contribué à un vote de type «si ce lot à Londres est en faveur, je suis contre». Mais je pense qu’il est simpliste de le voir comme une réponse à la conjoncture économique – la campagne pour le Brexit a commencé immédiatement après les années Thatcher et a augmenté régulièrement au cours des cycles de boom. Je pense que la cause profonde est culturelle – comme le soutient Fintan ‘Toole:
Il peut sembler étrange d’appeler invisible cet effondrement lent, car il est évident: les profondes incertitudes concernant l’union après l’accord du Vendredi Saint de 1998 et la création du Parlement écossais l’année suivante; la montée conséquente du nationalisme anglais; les profondes inégalités régionales en Angleterre même; la divergence générationnelle des valeurs et des aspirations; la dégradation de l’État providence et sa promesse de citoyenneté partagée; le mépris pour les pauvres et les vulnérables exprimé par l’austérité; l’essor d’une classe dirigeante clownesque et indulgente. Mais les effets collectifs de ces développements interdépendants semblent avoir été à peine visibles dans le courant politique jusqu’à ce que David Cameron enlève accidentellement le couvercle en organisant un référendum et en demandant aux gens d’approuver le statu quo.
Ce que nous voyons avec le couvercle fermé et le brouillard de fantasmes qui commencent enfin à se dissiper, c’est la vérité que le Brexit concerne beaucoup moins les relations de la Grande-Bretagne avec l’UE que les relations de la Grande-Bretagne avec elle-même. C’est la projection vers l’extérieur d’une agitation intérieure. Un système politique archaïque avait perduré alors même que ses fondements d’appartenance collective s’effondraient. Le Brexit, à lui seul, a rendu un véritable service: il a obligé l’ancien système à jouer ses affres en public. Le spectacle est laid, mais au moins il montre qu’un État fissipare à quatre nations ne peut pas être gouverné sans changement social et constitutionnel radical.



Libérez le démon de la vitesse qui sommeille en vous


Pour beaucoup d’entre nous, conduire une Ferrari, une Lamborghini, une Porsche ou une autre supercar est un rêve devenu réalité. Mais la plupart d’entre nous n’en ont pas l’occasion, parce que c’est généralement trop cher ou parce que nous ne trouvons pas le bon endroit pour le faire. Il existe pourtant un moyen de vivre cette expérience : le pilotage sur circuit ! Le pilotage sur circuit vous permet d’emmener votre voiture idéale sur un circuit et de repousser ses limites sans avoir à vous soucier des policiers ou des autres conducteurs. Vous pouvez aller aussi vite que vous le souhaitez et tenter des manœuvres audacieuses qui seraient impossibles sur les routes publiques. De plus, des professeurs expérimentés sont toujours à proximité pour vous aider à vous assurer que tout se passe en toute sécurité.

Si vous avez toujours voulu réaliser votre rêve de course, c’est l’occasion ou jamais ! En utilisant la bonne configuration et en vous entraînant, vous aurez la possibilité de rivaliser avec d’autres personnes plus expérimentées que vous. En outre, c’est une excellente occasion d’apprendre comment les véhicules se comportent dans des circonstances extrêmes, ce qui est très utile pour affronter les routes ordinaires à grande vitesse. Si vous êtes à la recherche d’une aventure passionnante qui vous donnera l’occasion de vous sentir comme un véritable propriétaire de voiture de course, le pilotage sur circuit vaut vraiment la peine d’être pris en considération ! Votre enfant intérieur vous remerciera pour ce voyage incroyable !

La conduite sur circuit peut être une expérience incroyablement excitante et gratifiante, mais elle peut aussi être dangereuse si les précautions de sécurité adéquates ne sont pas prises. Tout d’abord, il est important de s’assurer que le circuit sur lequel vous avez l’intention de rouler est fréquemment entretenu, avec un tarmac de bonne qualité et des dispositifs de sécurité bien entretenus tels que des barrières et des glissières de sécurité. Il est également essentiel que vous portiez le meilleur équipement possible lorsque vous êtes sur la piste. Il peut s’agir d’une combinaison de course automobile complète, d’un casque, de gants et de bottes. Votre casque doit être conforme aux normes de sécurité et bien ajusté. Vous pouvez également investir dans des protections supplémentaires, telles que des protège-gorge et des protège-dos, pour plus de sécurité.

Avant de vous mettre au volant de votre supercar, vous devez également connaître les règles de conduite sur circuit. Celles-ci prévoient généralement des limitations de dépassement ainsi que des limitations de vitesse en fonction de votre position par rapport aux autres conducteurs. Il est essentiel que vous respectiez ces règles en permanence lorsque vous êtes sur le circuit. Enfin, la présence d’un instructeur expérimenté lors de votre conduite est généralement recommandée – il peut vous donner des conseils et vous aider à naviguer sur le circuit en toute sécurité afin que vous passiez un moment agréable (et sans risque !) au volant de votre voiture idéale !

La conduite sur circuit peut être un excellent moyen de découvrir les sensations procurées par les véhicules à hautes performances, et il existe de nombreux véhicules qui s’y prêtent parfaitement. Pour commencer, les véhicules de sport tels que la Porsche 911, la Ferrari 488 et la Lamborghini Huracan offrent une maniabilité, une agilité et une puissance exceptionnelles tout en douceur. Si vous préférez les véhicules plus classiques, les muscle cars comme la Ford Mustang GT et la Chevy Camaro SS vous feront certainement battre la chamade.

Si vous recherchez quelque chose de plus audacieux, les supercars comme la McLaren 720S ou l’Audi R8 V10 In addition peuvent vous offrir un voyage rempli d’adrénaline qui vous fera sentir exalté pendant plusieurs jours. Pour tous ceux qui disposent d’un budget minimal, pilotage Lamborghini il existe en outre de nombreuses options abordables comme la Mazda MX-5 Miata ou la Subaru WRX STI. Conduire une voiture sur un circuit est une expérience pratique fantastique.



Le voyageur


Netflix a renouvelé la série populaire de drames de science-fiction Travelers pour une troisième saison. Le spectacle, mettant en vedette Eric McCormack, est originaire du Canada, où il est produit et a été commandé par Showcase. Netflix s’est joint à nous en tant que partenaire et distributeur mondial à l’extérieur du Canada pour les deux premières saisons. À compter de la saison 3, Netflix sera le réseau exclusif de première diffusion de la série dans tous les territoires du monde, y compris au Canada.

McCormack, qui dirigera le premier épisode de la saison 3, vient de confirmer le renouvellement sur les réseaux sociaux. Dans sa déclaration, il a noté que la série, créée par Brad Wright, restera «entièrement canadienne».

«Avant d’être à nouveau Will Truman, j’étais un voyageur», a déclaré McCormack. «Et je suis tellement heureux de pouvoir dire à nos fans, à travers le monde, que le drame de science-fiction subtil et étonnant de Brad Wright est de retour pour une troisième saison. Je suis tellement fier de ce spectacle, en particulier du fait qu’il est entièrement canadien. Que ce soit notre équipe dévouée de Vancouver, nos jeunes talents qui viennent de l’Alberta, de la Colombie-Britannique, du Manitoba et de l’Ontario, de mes partenaires de production et de nos racines torontoises, Travelers est une série canadienne dans sa création mondiale. Je compte les jours avant mon retour, non seulement en tant qu’agent spécial Grant MacLaren et en tant que producteur, mais en tant que directeur de la première saison de la saison 3. Les voyageurs continueront à faire preuve de dévouement envers les talents canadiens et à être l’un des spectacles les plus forts et les plus captivants de Netflix. »

Les voyageurs, qui co-vedettes Jared Abrahamson, Nesta Cooper, Reilly Dolman, Patrick Gilmore et MacKenzie Porter, se réuniront dans des centaines d’années lorsque les derniers humains survivants découvriront les moyens d’envoyer la conscience directement au 21ème siècle . Ces «voyageurs» assument la vie de personnes apparemment aléatoires, tout en travaillant secrètement en équipe pour effectuer des missions afin de sauver l’humanité d’un avenir terrible.

Les voyageurs ont été présentés en première au Canada en octobre 2016 en tant que nouvelle série d’automne la mieux notée de Canadian Specialty, suivie de ses débuts à Netflix en décembre 2016.

«Notre partenaire Eric l’a dit le mieux», ont déclaré les producteurs exécutifs de Travelers, Wright et Carrie Mudd, de Peacock Alley Entertainment. «Nous aimerions ajouter notre gratitude à nos téléspectateurs au Canada sur Showcase – ainsi qu’aux équipes de Corus et de Sky Vision – pendant deux saisons extraordinaires.



Envie d’un voyage dans l’espace


Parce qu’autrefois, les gens du monde entier ont étudié les cieux et utilisé leurs observations et explications des phénomènes astronomiques pour des raisons spirituelles et sensées. Certains rêvaient de quitter Planet pour découvrir d’autres mondes. Par exemple, le satiriste français Cyrano de Bergerac au XVIIe siècle a publié Histoire comique des états et empires de los angeles lune (1656) et Histoire comique des états et empires du soleil (1662 ; ensemble en anglais sous le titre A Voyage to the Moon : With Some Compte de la planète solaire, 1754), décrivant des voyages fictifs vers la Lune ainsi que la lumière du soleil. Deux générations plus tard, l’auteur français Jules Verne et le romancier et historien anglais H.G. Wells ont infusé leurs récits avec des descriptions de pièces extérieures et de vols spatiaux qui étaient constantes en utilisant la meilleure compréhension de l’époque. De la Terre à la Lune de Verne (1865 ; De votre Terre vers la Lune) et La Guerre des mondes de Wells (1898) ainsi que Initially Guys in the Moon (1901) ont utilisé des concepts technologiques pour expliquer les voyages dans les pièces et les expériences avec créatures extraterrestres. Pour pouvoir convertir ces images imaginaires de voyages dans une pièce en réalité, il avait été essentiel de développer un moyen pratique de contrer l’influence de la gravité terrestre. Au début du 20e siècle, la technologie des fusées éprouvées depuis des générations a atteint un niveau auquel il était abordable de penser à leur utilisation pour accélérer des objets à une vitesse suffisante pour se mettre en orbite autour de la planète et même pour fuir les forces gravitationnelles de la Terre. et voyager de la planète. La première personne à analyser en détail l’utilisation des fusées pour les vols spatiaux était l’instituteur et mathématicien russe Konstantin Tsiolkovsky. En 1903, voyage spatial son article « Exploration de la salle cosmique au moyen de dispositifs de réaction » a organisé plusieurs des principes du vol spatial. Jusqu’à sa mort en 1935, Tsiolkovski a continué à publier des recherches sophistiquées sur les aspects théoriques des vols spatiaux. Il n’a jamais accompagné ses articles de tests sensés en fusée, mais son travail a grandement influencé l’étude ultérieure des pièces et des fusées en Union soviétique et en Europe. Aux États-Unis, Robert Hutchings Goddard a commencé à penser à l’exploration de la pièce après avoir lu des fonctions telles que La guerre des mondes. Même jeune, il s’est consacré à se concentrer sur les vols spatiaux. Dans sa conversation de fin d’études secondaires en 1904, il déclara qu’« il est difficile de dire ce qui est extrêmement difficile, car le rêve d’hier est définitivement le souhait d’aujourd’hui et la réalité du lendemain ». Goddard a obtenu ses deux premiers brevets pour les technologies de fusée en 1914, et, avec le financement de votre Smithsonian Organization, il a publié un traité théorique, A Method of Reaching Extreme Altitudes, en 1919. Goddard déclare que les fusées pourraient être utilisées pour envoyer des articles dans la mesure où la Lune a été largement ridiculisée par le public, comme le New York Times (qui a publié une rétractation le 17 juillet 1969, le jour suivant la sortie de la mission initialement habitée vers la Lune). Par la suite, le déjà timide Goddard a réalisé une grande partie de son travail en clé, choisissant de breveter plutôt que de publier ses résultats. Cette approche a limité son impact sur la création de fusées aux États-Unis, même si les premiers programmeurs de fusées en Allemagne ont observé sa fonction. Dans les années 1920, étant professeur de physique à l’Université Clark à Worcester, Massachusetts, Goddard a commencé à expérimenter avec des fusées à carburant liquide. Sa première fusée, lancée à Auburn, Massachusetts, le 16 mars 1926, a augmenté de 12,5 mètres (41 pieds) et parcouru 56 mètres (184 pieds) depuis son point de départ. Le caractère bruyant de ses expériences rendait difficile pour Goddard de poursuivre son travail dans le Massachusetts. Avec l’aide de l’aviateur Charles A. Lindbergh et l’aide financière du compte philanthropique Daniel Guggenheim pour la promotion de l’aéronautique, il s’installe à Roswell, Nouveau-Mexique, où de 1930 à 1941 il construit des moteurs et lance des fusées de complexité croissante.



L’intelligence artificielle comme banquier central


L’intelligence artificielle, comme le Bot de la Banque d’Angleterre, est appelée à prendre en charge un nombre croissant de fonctions des banques centrales. Cette chronique soutient que l’utilisation accrue de l’IA dans les banques centrales apportera des avantages significatifs en termes de coûts et d’efficacité, mais soulèvera également des préoccupations importantes qui ne sont pas encore résolues.
Les rédacteurs
L’intelligence artificielle (IA) est de plus en plus utile pour les banques centrales. Bien qu’elle ne soit peut-être utilisée que dans des rôles de bas niveau aujourd’hui, les progrès technologiques et les économies de coûts vont probablement intégrer l’IA de plus en plus profondément dans les fonctions essentielles des banques centrales. Peut-être que chaque banque centrale aura son propre moteur d’IA, peut-être un futur « BoB » (Bank of England Bot).
Quel sera l’impact de BoB et de ses homologues ?
BoB pourrait aujourd’hui, ou bientôt, aider à de nombreuses tâches des banques centrales, comme la collecte d’informations, l’analyse de données, les prévisions, la gestion des risques, la supervision financière et l’analyse de la politique monétaire.
La technologie est pour l’essentiel là ; ce qui empêche son adoption, ce sont des facteurs culturels, politiques et juridiques. Le plus important est peut-être l’inertie institutionnelle. Cependant, les économies considérables réalisées grâce à l’utilisation de l’IA permettront probablement de surmonter la plupart des objections.
Dans certains domaines de la banque centrale, l’IA sera particulièrement précieuse, comme dans la réponse aux crises. Si la banque centrale est confrontée à une crise de liquidité et dispose de quelques heures ou de quelques jours pour réagir, la rapidité de la collecte et de l’analyse des informations est essentielle. Disposer d’un moteur d’IA en veille, expert dans l’évaluation de la situation, est inestimable, car il libère les décideurs humains du traitement des données afin qu’ils puissent prendre des décisions opportunes, conseillées par BoB.
Dans le même temps, l’utilisation accrue de l’IA soulève des questions cruciales pour les responsables de la politique économique (Agrawal 2018). Au sein de la banque centrale, quatre questions sont particulièrement importantes (Danielsson et al. 2020).
1. Procyclicité
Lorsqu’elle sera utilisée pour la supervision financière, BoB privilégiera les méthodologies homogènes de type « best-of-breed » et les processus standardisés, imposant aux acteurs du marché une vision du monde de plus en plus homogène.
Cela amplifie l’impact procyclique des propres moteurs d’IA des banques, qui ont tous le même objectif : la maximisation du profit sous réserve de contraintes. Les « meilleures » solutions sont plus proches de l’optimum et, par conséquent, plus proches les unes des autres.
Il en résulte des transactions encombrées en raison d’une perception et d’une action encombrées. Lorsque de nouvelles informations arrivent, tous les moteurs d’IA, tant dans le secteur privé que dans le secteur public, mettront à jour leurs modèles de manière similaire. Tous verront le risque de la même manière, et l’IA des banques voudra acheter/vendre les mêmes actifs.
Le résultat est la procyclicité – stabilité à court terme et profits élevés, mais au prix d’un risque systémique accru.
2. Inconnus
L’une des parties les plus difficiles du travail des banquiers centraux consiste à gérer les « inconnus ». Les vulnérabilités, en particulier celles de type systémique dangereux, ont tendance à émerger aux frontières des domaines de responsabilité – les silos. Les prêts hypothécaires à risque ont mis en place des produits avec des garanties de liquidité cachées dans le crédit structuré, traversant de multiples juridictions, agences, catégories institutionnelles et pays. Ce sont des domaines où les humains comme l’IA sont le moins susceptibles de regarder.
L’IA actuelle peut facilement être entraînée sur des événements qui se sont produits (« connus-connus »). La BdB peut peut-être être entraînée sur des scénarios simulés (« connus-inconnus »).
Cependant, notre système financier est, à toutes fins pratiques, infiniment complexe. Non seulement cela, mais chaque action prise par les autorités et le secteur privé modifie le système – la complexité du système financier est endogène, une conséquence de la loi de Goodhart (1975) : toute régularité statistique observée aura tendance à s’effondrer dès lors qu’une pression est exercée sur elle à des fins de contrôle ».
BoB passera, par définition, à côté des inconnus, tout comme ses homologues humains. Après tout, la machine ne peut être entraînée que sur des événements qui se sont déjà produits ou qui sont générés par des simulations d’économies modèles entièrement spécifiées. Pour exactement la même raison, elle sera très douée pour traiter les inconnus connus, bien mieux que ses homologues humains. Pourtant, ce sont les inconnus qui provoquent les crises.
3. Confiance
La BoB assurera probablement la sécurité du système financier la plupart du temps, très probablement bien mieux qu’un système de supervision à personnel purement humain, et nous nous fierons donc de plus en plus à la BoB et lui ferons confiance. Cela peut à la fois miner les plans d’urgence et les mesures réglementaires préventives, tout en créant un faux sentiment de sécurité qui pourrait bien culminer dans un moment Minsky : un risque perçu comme faible qui provoque des crises (Danielsson et al. 2018).
Dans les années 1980, un moteur d’IA appelé EURISKO a utilisé une astuce mignonne pour vaincre tous ses concurrents humains dans un jeu de guerre navale. Il a simplement coulé ses propres navires les plus lents afin que son convoi naval devienne plus rapide et plus maniable que celui de ses concurrents, assurant ainsi la victoire (pour une liste d’exemples similaires, voir Krakovna 2018).
Cet exemple cristallise les problèmes de confiance auxquels BoB est confronté. Comment savons-nous qu’il fera ce qu’il faut ? Un amiral humain n’a pas besoin qu’on lui dise qu’il ne peut pas couler ses propres navires. Ils le savent tout simplement ; c’est une partie ancrée de leur humanité. BoB n’a pas d’humanité. S’il doit agir de manière autonome, les humains devront d’abord fixer ses objectifs. Mais une machine avec des objectifs fixes, lâchée dans un environnement infiniment complexe, aura un comportement inattendu (Russel 2019). BoB rencontrera des cas où il prendra des décisions critiques d’une manière qu’aucun humain ne ferait. Les humains peuvent ajuster leurs objectifs. BoB ne le peut pas.
Comment pouvons-nous alors faire confiance à BoB ? Pas de la même manière que nous faisons confiance à un humain. La confiance dans la prise de décision humaine vient d’une compréhension partagée des valeurs et d’une compréhension partagée de l’environnement. BoB n’a pas de valeurs, seulement des objectifs. Et sa compréhension de l’environnement ne sera pas nécessairement intelligible pour les humains. Bien sûr, nous pouvons soumettre des hypothèses à BoB et observer ses décisions, mais nous ne pouvons pas facilement lui demander une explication (Joseph 2019).
Cela signifie-t-il que nous n’utiliserons l’IA dans les banques centrales que pour des fonctions simples ? Peu probable. La confiance nous gagne. Nous pensons que la plupart des gens auraient rechigné à gérer leurs finances personnelles en ligne il y a 20 ans. Il y a cinq ans, la plupart n’auraient pas fait confiance aux voitures à conduite autonome. Aujourd’hui, nous n’avons aucun problème à confier nos vies à des avions pilotés par l’IA et à des robots chirurgicaux contrôlés par l’IA.
À mesure que l’IA prouvera sa valeur aux banques centrales, celles-ci commenceront à lui faire confiance, facilitant ainsi la progression de carrière de BoB. Après tout, elle sera perçue comme faisant un excellent travail à un coût bien inférieur à celui des banquiers centraux humains.
Ensuite, si une crise survient, et que nous voyons que l’IA fait quelque chose d’inacceptable – peut-être la version de la banque centrale consistant à couler ses propres navires les plus lents – nous pourrions vouloir appuyer sur l’interrupteur d’arrêt. Sauf que ce ne sera plus aussi simple. Sa réputation croissante aura réduit les incitations à prendre d’autres mesures d’urgence et, par conséquent, notre capacité à interférer avec le comportement de Bob. L’éteindre pourrait mettre en danger les systèmes critiques.
4. Optimiser contre le système
Le dernier sujet de préoccupation concerne la manière dont BoB traiterait les « acteurs malveillants » : ceux qui prennent des risques inacceptables, ceux qui créent de l’instabilité pour en tirer profit, ou même ceux dont l’objectif principal est d’endommager le système financier.
Ici, BoB est désavantagée par les moteurs d’IA de ses adversaires. Elle est confrontée à ce qui est, en fait, un problème de calcul infiniment complexe, car elle doit surveiller et contrôler l’ensemble du système.
L’adversaire n’a qu’à identifier les failles locales qui peuvent être exploitées, et aura donc toujours l’avantage.
Cet avantage est amplifié par la rationalité intrinsèque de l’IA. Ses objectifs motivent ses actions. Cela rend BoB prévisible, ce qui donne un avantage à ses adversaires. Des objectifs fixes associés à un environnement complexe créent un comportement imprévisible, que l’on utilise l’IA ou non. Maintenant, cependant, un comportement rationnel dans un environnement bien défini permet une rétro-ingénierie des objectifs de BoB via des interactions répétées.
Certes, des contre-mesures existent déjà. La défense standard est que l’IA réagisse de manière aléatoire dans ses interactions avec des êtres humains ou d’autres IA, limitant ainsi leur capacité à la jouer. Cela imite la défense naturelle fournie par les humains – ils créent du hasard, des nuances et de l’interprétation, qui varient selon les individus et le temps.
Il y a au moins deux raisons pour lesquelles de telles contre-mesures ne fonctionneraient pas en pratique pour BoB.
Premièrement, les réponses aléatoires devraient être programmées dans l’IA de la banque centrale, ce qui serait inacceptable, sauf dans des cas particuliers. La réglementation et la supervision doivent être transparentes et équitables.
Deuxièmement, la randomisation exige que les concepteurs de l’IA spécifient une distribution pour les actions de BoB, et cette distribution peut être inversée à mesure que les entités réglementées observent des décisions répétées.
La rationalité innée de BoB, associée aux exigences de transparence et de fair-play, le désavantage lorsqu’il est utilisé pour la supervision. Il est intéressant de noter que l’ambiguïté constructive est acceptée dans la politique monétaire, et qu’elle pourrait donc constituer un moindre problème dans ce domaine.
Conclusion
L’IA va devenir très utile aux banques centrales. L’IA microprudentielle – « micro BoB » – réduira les coûts et augmentera l’efficacité, aidera à répondre aux crises et sera très efficace 999 jours sur 1000.
L’IA sera tout aussi bénéfique à la politique monétaire, en s’occupant de la collecte des données et de la prévision des politiques, et en améliorant le flux d’informations vers les comités de politique monétaire à un coût bien moindre qu’avec l’infrastructure actuelle.
C’est dans les réglementations macroprudentielles et la gestion des crises que l’IA soulève les questions les plus critiques. L’IA augmentera la procyclicité et la probabilité de moments Minsky, et on ne peut pas lui faire confiance. Elle facilitera l’optimisation contre le système.
Le BoB macro a besoin d’un coupe-circuit, mais n’en aura probablement pas.
L’utilisation de l’IA à des fins de contrôle peut augmenter le risque systémique, en réduisant la volatilité et en engraissant les queues.